Antoine Griezmann et Didier Deschamps s'en prennent à l'arbitrage après le but refusé aux Bleus contre la Grèce

  • L'équipe de France a terminé sa phase de qualifications pour l'Euro 2024
  • Déjà qualifiés, les Bleus ont obtenu le match nul face à la Grèce (2-2)
  • Un but aurait été injustement refusé aux hommes de Didier Deschamps, qui a exprimé son incompréhension
Antoine Griezmann et Didier Deschamps ont questionné l'arbitrage sur le but refusé aux Bleus face à la Grèce
Antoine Griezmann et Didier Deschamps ont questionné l'arbitrage sur le but refusé aux Bleus face à la Grèce / Xavier Laine/GettyImages
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A l'issue du match nul de l'équipe de France face à la Grèce mardi (2-2), Antoine Griezmann et Didier Deschamps ont exprimé leur mécontentement face au but refusé aux Bleus en fin de match.

La polémique du soir. Mardi, l'équipe de France a conclu sa phase de qualifications pour l'Euro 2024 avec un match nul ramené des Grèce (2-2), lui permettant de finir invaincu. Invaincu certes, mais pas avec un ratio de 100% de victoires sur ces huit matchs.

Pourtant, les Bleus semblaient bel et bien avoir inscrit le but de la victoire en toute fin de match, sur une frappe de Kingsley Coman, contrée. Après avoir heurté une première fois le poteau, le ballon semble avoir franchi entièrement la ligne de but, avant de ressortir après avoir frappé le deuxième montant.

Un but refusé qui a grandement agacé l'équipe de France, à commencer par Antoine Griezmann. "Il a manqué la goal-line technology non ? L'UEFA a beaucoup d'argent, ils n'arrivent pas à mettre tout au point pour qu'on sache s'il y a but ou non. S'ils veulent qu'on fasse beaucoup de matchs, on leur demande plus de technologie...", a-t-il lancé au micro de TF1 après la rencontre.

"C’est incohérent par rapport aux exigences du haut niveau" déplore Deschamps

Un coup de gueule qui a été partagé par Didier Deschamps quelques minutes plus tard : "Ce que je regrette déjà, c’est qu’on est au niveau international. Ça aurait pu être le même match avec une qualification en jeu, et avoir un terrain où il n’y a pas la goal-line technology, c’est un peu… Pourquoi il n’y avait pas la goal-line technology ? Parce qu’il n’y avait pas, voilà, ça coûte cher… Évidemment c’est incohérent par rapport aux exigences du haut niveau", a lancé le sélectionneur français.

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Avant de reprendre : "Je me mets à la place des arbitres, ils subissent. Le monsieur de la VAR est sûr à 99% qu’elle est dedans, mais il reste 1% parce qu’avec l’image… Bon. Ça n’a pas d’incidence, si ce n’est que c’était un match gagné de plus et ce qui va avec : on aurait fait un carton plein en étant sûrs d’être premiers au classement FIFA en fin d’année. Après ce n’est pas le fait qu’il n’y ait pas la goal-line technology qui nous fait prendre deux buts non plus. Mais on a fait ce qu’il fallait pour revenir et faire en sorte de gagner le match. C’est un incident de jeu qui, de par les enjeux, est pour le moins surprenant."

Le message est passé, et il a la mérite d'être clair. Pour le prochain Euro, à partir du 14 juin prochain, le problème devrait, en principe, être évité : les ballons seront équipés de capteurs, censés aider à comprendre les mouvements du ballon.

Du Paris Saint-Germain de Zlatan Ibrahimovic au Championship, le parcours atypique de Yakou Méïté, attaquant de Cardiff City. L'international ivoirien s'est confié à 90min au cours d'un long entretien où il a évoqué sa carrière, l'Angleterre, son passage au centre de formation du PSG, ses plus belles anecdotes avec les Titis Parisiens, de Moussa Diaby à Christopher Nkunku, en passant par Mike MaignanPresnel Kimpembe ou encore Kingsley Coman.  

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