Chelsea : Kepa s'explique sur son incident avec Sarri

Kepa Arrizabalaga s'était fait remarquer lors de la finale de la Carabap Cup en 2019.
Kepa Arrizabalaga s'était fait remarquer lors de la finale de la Carabap Cup en 2019. / Marc Atkins/Getty Images
facebooktwitterreddit

C'était l'un des moments de l'année football 2019. Lors de la finale de Carabao Cup entre Chelsea et Manchester City, Kepa Arrizabalaga refuse de céder sa place avant la séance de tirs au but. Et le portier espagnol est revenu sur cet incident avec Maurizio Sarri, quelques années plus tard.


Doublure d'Edouard Mendy à Chelsea, Kepa Arrizabalaga n'a jamais réellement fait l'unanimité depuis son arrivée à Chelsea. Et comment ne pas avoir en tête l'incident lors de la finale de la Carabao Cup en 2019 ? Face à Manchester City, le portier espagnol refuse de sortir avant la séance de tirs au but.

Kepa Arrizabalaga met les choses au clair

Une scène qui a rapidement fait le tour du monde, puisque le club londonien s'était incliné dans la foulée. Pour nos confrères de The Players Tribune, le gardien de 26 ans est revenu sur cette altercation avec Maurizio Sarri :

"Tout était un gros malentendu. Après avoir effectué un arrêt, j'ai senti quelque chose dans ma jambe et j'ai appelé le kiné pour m'assurer que ce n'était rien. Mais surtout, je voulais m'assurer que nous, en tant qu'équipe, puissions reprendre notre souffle."

"Du coup, j'ai vu que le coach Maurizio Sarri avait envoyé Willy Caballero s'échauffer. Il pensait que je ne pouvais pas continuer. Mon intention, bonne ou mauvaise, n'avait été que de perdre du temps pour aider l'équipe. Je n'ai eu aucun problème sérieux qui allait m'empêcher de continuer à jouer."

"J'ai essayé de signaler que j'allais bien, que je n'étais pas blessé. Mais nous étions à Wembley devant plus de 80 000 personnes, alors bien sûr Sarri ne m'a pas compris. Lorsque le quatrième arbitre a levé le panneau, j'aurais clairement dû me retirer, et je suis désolé de ne pas l'avoir fait. Je me suis trompé et je suis désolé pour tous ceux qui ont été impliqués. À l'intérieur du club, ce n'était pas grave. (...) Mais en dehors du club, c'est devenu incontrôlable."