Insolite : Clinton Njie victime d'une fake news largement diffusée

Alors qu'il a souvent et injustement été chambré par les supporters sur son manque d'intelligence sur une pelouse, Clinton Njie a été victime d'une fake news où il s'est supposément trompé sur le nom de son club actuel en Russie.

Son nom va forcément rappeler de bons souvenirs aux supporters de l'Olympique de Marseille. Définitivement acheté par l'écurie phocéenne aux Spurs de Tottenham en 2017 après une saison passée sur la Côte d'Azur en prêt, Clinton Njie a porté les couleurs de l'institution sudiste jusqu'en juillet 2019.

Et après ces trois saisons de bons et loyaux services, l'international camerounais a pris son envol pour rejoindre la Russie, en y signant un contrat de quatre ans en faveur du Dinamo Moscou. Un changement climatique pour le moins radical. Mais qu'importe, l'attaquant continue à faire parler de lui. Même si ce n'est pas toujours pour des raisons sportives !

Un lapsus qui peut coûter cher

En effet, lors de sa dernière interview accordé à la radio camerounaise Radio Sport Info, l'ancien joueur de l'Olympique lyonnais a été victime d'une fake news lui portant préjudice. En abordant le mercato et sa situation avec les Blancs et Bleus, le buteur de 26 ans se serait trompé de nom en évoquant son équipe actuelle :

""J’ai un contrat qui s’étale sur 3 ans. Après nous sommes dans le foot où ça peut aller très vite. C’est vrai que j’ai reçu des propositions venant de partout et même d’Angleterre. Cependant, je suis bien au CSKA et je suis concentré pour finir ma saison. J’espère que je pourrai donner un peu plus encore dans le football ici .""

- Clinton Niie

Une information qui a largement été relayée par les médias et les différents comptes Twitter.

Pour autant, bien que les propos de Clinton Njie ont été retranscrits de la sorte, le joueur formé à l'OL a tenu à rétablir la vérité, précisant qu'il s'agissait d'une erreur du journaliste dans sa story Instagram :

Loin d'être rancunier, le joueur à l'extérieur du pied de velours a reconnu que "l'erreur est humaine".