Julien Cazarre détruit Thiago Silva et toute l'équipe du Paris Saint-Germain
Par Morgan Piot
Dans un édito, Julien Cazarre a dézingué l'attitude du capitaine brésilien suite à l'absence d'accord des joueurs parisiens avec la direction, en vue d'une baisse des salaires en cette période de crise économique.
La langue toujours aussi bien pendue, Julien Cazarre n'a pas manqué d'allumer Thiago Silva dans les colonnes de France Football en dénonçant son comportement immoral. Le principal concerné en prend pour son grade :
""Ah, voilà, ça, c'est un capitaine ! Ça, c'est un gars qui en a dans le froc ! Bravo Thiago Silba, t'es un boss ! Qui fait face alors que tant d'autres se cachent ? Le seul vrai capitaine brésilien qui marquera l'Histoire du club de la capitale, j'ai nommé Thiago Silva, qui a eu le courage d'aller affronter le tout-puissant Nasser pour lui annoncer droit comme un I... qu'il ne ferait aucun geste de solidarité envers le club concernant sa baisse de salaire." "
- Julien Cazarre
"Le moustachu à turban peut pas balancer de la thune"
À l'image des autres clubs européens, comme Manchester City, le PSG est toujours sous surveillance rapprochée vis-à-vis du fair-play financier instauré par l'UEFA.
""Ha, ha, ha, vous faites moins les malins, là !!! J'en entends déjà dire : 'oh, ça va, avec l'argent du Qatar, on va pas chialer.' Seulement, je rappelle qu'à cause du fair-play financier, le moustachu à turban peut pas balancer de la thune comme un cadre sup au Pink Paradise. Faut compter les brouzoufs.""
- J.C.
Dans un esprit de "solidarité", l'international brésilien a été soutenu par le reste de l'équipe parisienne.
""On disait de manière totalement éhontée qu'O Monstro était isolé dans le vestiaire. Eh ben, BIM !!! Fake news. Tous les joueurs se sont glissés dans le sillage de notre Thiago pour eux aussi refuser un accord de baisse salariale. Ça doit bien faire fermer des bouches de ceux qui pensaient que les gars ne pensaient qu'à eux et n'étaient pas solidaires.""
- J.C.
À l'inverse d'une formation comme le Bayern Munich, où les joueurs ont accepté une seconde baisse des salaires, les joueurs français révèlent un visage égocentrique à l'image des Lyonnais, ou encore de Dimitri Payet à l'Olympique de Marseille.