L'incroyable anecdote d'Eduardo Camavinga sur ses débuts avec les pros
Lors d'un entretien avec nos confrères de One Football, le milieu de terrain Eduardo Camavinga est revenu sur ses premiers pas dans le monde professionnel. Avec une anecdote savoureuse sur ses débuts aux entraînements du Stade Rennais.
Doucement mais sûrement, Eduardo Camavinga confirme toutes les promesses placées en lui, et son immense talent. Après avoir éclaboussé la Ligue 1 de son talent durant son passage au Stade Rennais, le milieu de terrain de 19 ans prend désormais ses marques avec le Real Madrid. Avec patience, l'international français apprend aux côtés de joueurs comme Toni Kroos, Luka Modric ou encore Casemiro.
Et justement, s'il passe les paliers les uns après les autres, le natif de Miconje en Angola concède sans souci que rien n'a été facile pour lui. Celui qui a débuté avec Rennes à seulement 16 ans n'oublie d'ailleurs pas ses premières séances d'entraînement collectif avec les Bretons. « Le premier entraînement, j’ai souffert physiquement. J’ai failli vomir, il me semble. Et puis je me suis adapté, j’ai progressé», a raconté le Merengue à l'occasion d'un entretien avec le site One Football.
Camavinga, la patience fait sa force
Une anecdote savoureuse pour un joueur qui s'est ensuite très vite imposé chez les Rouge et Noir. Avant de sortir une performance XXL lors d'un choc gagné 2-1 contre le PSG dès le mois d'août 2019. «On avait préparé le match toute la semaine. Après la rencontre, j’ai reçu des messages fous. Même de mes parents. Les gens me disaient ‘Ce que tu as fait, c’est fou !’ Mais je ne réalisais pas à l’époque. Cela a changé la façon dont on me regardait», a ajouté Camavinga.
Désormais bien installé à Madrid, le phénomène tricolore attend patiemment son heure. «Il y a Casemiro, j’essaie énormément d’apprendre de lui tactiquement. Avant les matchs, il me dit de jouer simple, être efficace. Et puis il y a Luka Modric et Toni Kroos. J’apprends de ce trio, parce que je peux jouer à toutes les positions au milieu», explique le Madrilène, qui ne veut pas brûler les étapes.
Des propos rafraichissants qui démontrent bien que Camavinga avance avec la tête sur les épaules.