Le bel hommage d'Eduardo Camavinga aux milieux de terrain au Real Madrid

Eduardo Camavinga prend du galon au sein du Real Madrid.
Eduardo Camavinga prend du galon au sein du Real Madrid. / Denis Doyle/GettyImages
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Lors d'un entretien avec le magazine France Football, le jeune milieu de terrain Eduardo Camavinga a décrit ses coéquipiers du Real Madrid. Sans surprise, l'international français tient en haute estime ses collègues de l'entrejeu.


Démarrée de manière assez timide, l'aventure d'Eduardo Camavinga au Real Madrid prend finalement une autre tournure sur cette fin de saison. Par le biais d'entrées décisives et de performances réussies, le jeune milieu de terrain français réussit son année d'adaptation chez les Merengue avec déjà 38 apparitions à son actif.

Très à l'aise sur le terrain comme en dehors avec la Maison Blanche, le natif de Miconje en Angola s'est bien intégré au groupe madrilène. Et forcément, l'ancien Rennais s'est déjà créé de belles affinités dans le vestiaire du nouveau champion d'Espagne.

Camavinga ne manque pas de modèles au Real

Lors d'un entretien avec le magazine France Football, le joueur de 19 ans a décrit ses partenaires. Et s'il qualifie le polyvalent David Alaba de "chic type" ou d'une certaine manière de grand-frère, Camavinga s'est surtout étendu sur le trio du milieu de terrain Luka Modric - Toni Kroos - Casemiro.

«Luka, il a un instinct, une vision de ouf, ce n'est pas un Ballon d'Or pour rien. Il te sort des trucs avec son extérieur du pied, pff... Moi, si je tente des choses pareilles, je me "fais" une cheville. (Il explose de rire.) Mais il me transmet tout le reste, oui. Il attaque autant qu'il défend, donc je m'inspire de la manière dont il se déplace», a d'abord raconté le Français, sous le charme de son coéquipier.

"Si je tente des choses pareilles (que Modric), je me "fais" une cheville."

Eduardo Camavinga, France Football

«Toni, il lâche des passes de malade. Vous voyez les matchs, mais à l'entraînement c'est pire. (Il soupire.) Alors, tu regardes et t'as forcément envie de faire la même chose. "Case"(Casemiro), quand je joue 6, il me dit de garder mon calme. Et, surtout, de ne pas prendre de carton trop tôt pour ne pas avoir à changer mon jeu par la suite», a ajouté Camavinga, qui prend forcément les trois champions cités comme modèles.

Au vu de ses qualités, le Tricolore arrivera sans doute, à force d'efforts et de travail, à atteindre un jour le niveau des trois cadres merengue !