Mondial des clubs 90min : Le PSG de Laurent Blanc version 2015-2016

Le PSG de Laurent Blanc de 2015/2016
Le PSG de Laurent Blanc de 2015/2016 /
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Le Paris Saint-Germain version 2016 a tout raflé sur son passage sur la scène nationale. Une véritable machine de guerre et à buts. Couronné Champion de France, le 13 mars 2016 après une large victoire face à Troyes sur le score de 9-0 lors de la 30e journée, les Parisiens sont devenus cette année-là l'équipe à devenir le plus rapidement champion lors d'une saison.

Une domination suprême en France, mais qui n'a pas confirmé en Ligue des champions. Les rouge et bleu ont été éliminé en quart de finale, mais ont tout de même livré des prestations de très au niveau pendant la compétition. Retour sur cette équipe imposante qui était redouté par ses adversaires.


Photo d'équipe des joueurs du Paris Saint-Germain avant le choc face au Real Madrid
Photo d'équipe des joueurs du Paris Saint-Germain avant le choc face au Real Madrid / Gonzalo Arroyo Moreno/Getty Images

1. Kevin Trapp

Kevin Trapp face au Real Marid
Kevin Trapp face au Real Marid / Jean Catuffe/Getty Images

Arrivé dans la capitale française à l'été 2015 en provenance de l'Eintracht Francfort, Kevin Trapp était très désiré par le coach de l'époque Laurent Blanc. Malgré quelques pépites erreurs notamment une face au Real Madrid en phase de poule, l'Allemand s'est dans l'ensemble montré performant sous le maillot parisien.


2. Serge Aurier

Serge Aurier qui célèbre son but face à l'OL
Serge Aurier qui célèbre son but face à l'OL / Xavier Laine/Getty Images

Un soldat. Un joueur déterminé qui ne lâche jamais sa cible. Considéré à cette période comme le meilleur latéral du championnat de France et comme l'un des plus prometteurs du Vieux Continent, Serge Aurier avait un niveau de jeu incroyable. Malheureusement, l'Ivoirien s'est tiré une balle dans le pied avec plusieurs problèmes extra-sportifs.


3. Maxwell

Maxwell qui s'apprête à centrer
Maxwell qui s'apprête à centrer / Aurelien Meunier/Getty Images

Assurément, le meilleur latéral gauche de l'Histoire du club de la capitale. Le Brésilien a toujours fait le boulot dans son couloir. Élégant et surtout techniquement propre, il restera dans les mémoires des supporters parisiens.


4. David Luiz

David Luiz face à Lyon
David Luiz face à Lyon / Jean Catuffe/Getty Images

La joie de vivre, mais avant tout un guerrier. Leader de vestiaire et surtout apprécié de tous, David Luiz était un redoutable défenseur. Cependant, il se montrait trop irrégulier. Capable du meilleur comme du pire, son inconstance lui a coûté son départ du club la saison suivante.


5. Thiago Silva

Thiago Silva au Parc des Princes
Thiago Silva au Parc des Princes / Aurelien Meunier/Getty Images

Le capitaine ! Lors de la saison 2015-2016, Thiago Silva est âgé de 32 ans. Il est au top niveau et ses prestations sont souvent bonnes. Avec David Luiz, il forme une des meilleures charnières du monde.


6. Thiago Motta

Thiago Motta face à un joueur de l'AS Saint-Etienne
Thiago Motta face à un joueur de l'AS Saint-Etienne / Aurelien Meunier/Getty Images

Le patron de l'entre-jeu parisienne. Thiago Motta était le véritable chef-d'orchestre de l'équipe. Tous les ballons passaient par lui. Il donnait le tempo de la rencontre. Un régal à voir jouer.


7. Marco Verratti

Marco Verratti au coeur du jeu
Marco Verratti au coeur du jeu / Aurelien Meunier/Getty Images

L'adjoint de Thiago Motta. Avec lui, Marco Verratti était comme un poisson dans l'eau sur le terrain. Le numéro 6 parisien rayonnait lors de cet exercice 2015-2016. Malgré quelques pépins physiques, il n'a pas pu aider son équipe lors du quart de finale, retour de la C1 face à Manchester City.


8. Blaise Matuidi

Blaise Matuidi lors d'un match de Ligue des Champions
Blaise Matuidi lors d'un match de Ligue des Champions / Xavier Laine/Getty Images

Le combattant ! Blaise Matuidi pouvait mourir sur le terrain pour ses coéquipiers. Doté de qualités athlétiques au-dessus de la moyenne, sa couverture du terrain était impressionnante. En plus de cela, il s'est montré assez efficace devant le but en inscrivant 5 buts et en délivrant 9 buts toutes compétitions confondues.


9. Edinson Cavani

Edinson Cavani et sa fameuse célébration
Edinson Cavani et sa fameuse célébration / Xavier Laine/Getty Images

El Matador. Positionné sur le côté gauche de l'attaque dans un 4-3-3, Edinson Cavani a tout de même trouvé à plusieurs reprises le chemin des filets (25 buts et 6 passes décisives en 52 matchs). En plus d'être un buteur, l'international uruguayen faisait beaucoup d'effort sur le plan défensif et venait souvent aider les milieux de terrain ou Maxwell lorsque son équipe se retrouvait en difficulté défensivement.


10. Zlatan Ibrahimovic

Zlatan Ibrahimovic face à Toulouse
Zlatan Ibrahimovic face à Toulouse / Xavier Laine/Getty Images

L'âme de cette formation. La star, le vrai leader. L'année 2015-2016 aura été la meilleure de Zlatan Ibrahimovic sur le plan personnel. Avec 50 buts en 51 matchs et de 19 passes décisives, le Suédois a écrasé la Ligue 1. En revanche, on peut lui reprocher de ne pas avoir joué à son niveau lors de la double confrontation en quarts de finale de la C1 face aux Citizens. Légende !


11. Angel Di Maria

Angel Di Maria après son but face à Caen
Angel Di Maria après son but face à Caen / Jean Catuffe/Getty Images

Lorsque l'Argentin au PSG, il a pour but de faire passer un cap au club de la capitale. Acheté pour 63 millions d'euros à Manchester United, Angel Di Maria s'impose directement comme un joueur majeur de l'effectif. Avec 15 buts et 24 caviars délivrés, il séduit tout de suite les supporters rouge et bleu malgré son faible rendement dans les matchs couperets en Champions League.


Bonus

12. Javier Pastore

Javier Pastore qui fête son but face à Guingamp
Javier Pastore qui fête son but face à Guingamp / Jean Catuffe/Getty Images

Le magicien. Le roi du petit pont. Javier Pastore ne laissait pas insensible ses admirateurs. Joueur clé de l'effectif, il n'a pas pu donner la pleine mesure de son talent lors de cet exercice à cause de ses nombreuses blessures à répétitions. 26 matchs toutes compétitions confondues néanmoins.