Nice - OM : Cobos raconte les tensions entre Longoria et Rivère

Rivère et Longoria se sont accrochés en tribune présidentielle
Rivère et Longoria se sont accrochés en tribune présidentielle / VALERY HACHE/Getty Images
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Les deux présidents se sont écharpés en tribune présidentielle lors de la rencontre entre Nice et l'OM, dimanche soir.


Les incidents lors du match entre l'OGC Nice et l'Olympique de Marseille ce week-end n'ont pas fini de faire parler.

Alors que l'on a pu attester des échauffourées sur le terrain entre supporters niçois et joueurs de l'OM, on apprenait également au lendemain des évènements des tensions en tribune présidentielle entre Jean-Pierre Rivère et Pablo Longoria.

"Quand je vois le président de l'OM qui était à deux doigts de faire des actes à ne pas faire par rapport à ma femme...", déclarait notamment le président niçois.

Ancien joueur du Gym et désormais adjoint aux sports à la marie de Nice, José Cobos a fait la lumière sur l'accrochage en tribune présidentielle dans l'After Foot ce lundi :

"Quand j'ai vu que ça prenait une tournure que je ne voulais pas voir après ce qu'il s'est passé sur le terrain, j'ai enjambé les deux rangées de la tribune et je me suis interposé avec les dirigeants. C'était vraiment fort, donc je me suis imposé"

Cobos ne comprend pas le comportement de Pablo Longoria

L'ancien joueur de l'OGCN a affirmé que la femme du président Rivère n'a pas été poussée mais en effet touchée par Longoria.

"Il ne fallait pas que ça arrive à des gestes que des personnes auraient regretté. L'épouse de Jean-Pierre Rivère, n'a pas été poussée, mais le président de l'OM l'a touchée. Cela a énervé Rivère."

José Cobos a ensuite calmé les tensions en séparant les deux hommes pour éviter le chaos en tribune présidentielle, en plus de celui sur le terrain :

"Ma position était de m'interposer pour qu'il n'y ait pas d'incident. Je lui ai parlé en espagnol pour lui dire de se calmer, mais aussi aux personnes qui l'accompagnaient. Je ne comprenais pas pourquoi il se comportait comme ça, en lui disant que personne ne toucherait personne. La responsable du protocole m'a remercié. J'ai la conscience tranquille, je suis pour l'apaisement. Ce sont deux grands clubs. Je trouve ça malheureux".