Portugal - France : Une partie de la famille d'Antoine Griezmann pourrait ne pas supporter les Bleus ce vendredi

  • La France affronte le Portugal à l’occasion des quarts de finales de l'Euro 2024.
  • Antoine Griezmann sera probablement titulaire dans le onze de départ des Bleus.
  • Une partie de sa famille pourrait ne pas supporter les tricolores.
Antoine Griezmann - France
Antoine Griezmann - France / BSR Agency/GettyImages
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L'équipe de France affronte le Portugal dans le cadre des quarts de finale de l'Euro 2024, ce vendredi 5 juillet. Antoine Griezmann va de nouveau vivre un match particulier, comme lors de la finale de l'Euro 2016, puisque une partie de sa famille pourrait ne pas supporter les Bleus.

Ce match de coupe d'Europe est une rencontre particulière pour Griezmann. En effet, ce vendredi la France affronte le Portugal dans le but de se qualifier pour les demies-finales de l'Euro 2024, mais le joueur de l'Atlético de Madrid sera partagé, sa famille également. Le vice-capitaine des Bleus est d'origine portugaise, puisque son grand-père maternel, Amaro da Cavada, y est né et a même joué professionnellement pour Paços Ferreira. Il a ensuite émigré à Macon, près de Lyon. L'une de ses filles, la mère d'Antoine, a épousé le père de Griezmann, et la famille s'est installée en France.

Ses frères et sœurs, Théo et Maud, ont également grandi à Macon et la partie portugaise de sa famille s'est poursuivie, mais pas dans le sang ou les gènes du joueur de l'Atlético. Élevé en France, installé en Espagne depuis son adolescence et ayant des racines portugaises, l'attaquant devra tout de même jouer pour le peuple tricolore. Le pays de son grand-père, qui sera une fois de plus son rival, voudra sortir vainqueur comme en 2016.

Une revanche à prendre

Interrogé sur la situation de revanche en conférence de presse, Guy Stéphan n'a pas clairement dit que c'était le cas en expliquant précisément : "Ce n’est pas le dernier match qu’on a fait contre le Portugal. Ça va peut-être vous surprendre, mais rétrospectivement ce n’est pas un mauvais souvenir, pour moi, s’il n’y avait pas eu ce match, on n’aurait jamais eu la Coupe de monde 2018." Alors, peu importe le contexte, les Bleus devront gagner ce choc pour accéder au prochain tour.

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